2011 : les acteurs

Olivier Gourmet
dans "L'exercice de l'état"

Encore une fois, il est énorme, en géant bancal qui parvient à traduire la complexité de son personnage.

   

Vincent Lindon
dans "La permission de minuit"

Un bloc d'émotions. Lindon est grand.

   

Michel Piccoli
dans "Habemus Papam"

Cela aurait pu être l'occasion de faire le pitre, et bien non, Piccoli est tout en nuances. Il fait rire, bien sûr, mais pas seulement...

   

Omar Sy
dans "Intouchables"

Une énergie à revendre, le pouvoir de faire rire.

   

Aaron Eckhart
dans "Rabbit hole"

Il est capable de faire rire. Mais là, ce n'est pas le cas. Il est la douleur rentrée, d'une justesse presque douloureuse.

   

Grégory Gadebois
dans "Angèle et Tony"

Bon, c'est pas George Clooney, mais qu'est-ce qu'il est vrai, et touchant...

   

Jean-Pierre Darroussin
dans "De bon matin"

Etonnant, pas drôle, formidablement dense.

   

Michel Bouquet
dans "La petite chambre"

Le personnage est complexe, l'acteur est magnifique.

   

Gérard Depardieu
dans "Je n'ai rien oublié"

Encore là, Gégé. Toujours là. Même si c'est attendu, son jeu est un régal.

   

Denis Podalydès
dans "La conquête"

Comment dire, le personnage est... détestable ? (haïssable, oui, on peut aller jusque là), mais la performance de l'acteur est vraiment étonnante.