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Olivier Gourmet
dans "L'exercice de l'état"
Encore une
fois, il est énorme, en géant bancal qui parvient à
traduire la complexité de son personnage.
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Vincent Lindon
dans "La permission de minuit"
Un bloc d'émotions.
Lindon est grand.
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Michel Piccoli
dans "Habemus Papam"
Cela aurait
pu être l'occasion de faire le pitre, et bien non, Piccoli est
tout en nuances. Il fait rire, bien sûr, mais pas seulement...
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Omar Sy
dans "Intouchables"
Une énergie
à revendre, le pouvoir de faire rire.
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Aaron Eckhart
dans "Rabbit hole"
Il est capable
de faire rire. Mais là, ce n'est pas le cas. Il est la douleur
rentrée, d'une justesse presque douloureuse.
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Grégory Gadebois
dans "Angèle et Tony"
Bon, c'est
pas George Clooney, mais qu'est-ce qu'il est vrai, et touchant...
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Jean-Pierre Darroussin
dans "De bon matin"
Etonnant,
pas drôle, formidablement dense.
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Michel Bouquet
dans "La petite chambre"
Le personnage
est complexe, l'acteur est magnifique.
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Gérard Depardieu
dans "Je n'ai rien oublié"
Encore là,
Gégé. Toujours là. Même si c'est attendu,
son jeu est un régal.
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Denis Podalydès
dans "La conquête"
Comment dire,
le personnage est... détestable ? (haïssable, oui, on peut
aller jusque là), mais la performance de l'acteur est vraiment
étonnante.
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