Bien sûr, les
cinéastes sont les mieux placés pour parler du cinéma.
Le cinéma
sous toutes ces formes : le lieu de projection, avec Empire of light,
un peu anecdotique;
le tournage, avec
Ça tourne à Séoul qui manque de folie,
et Le livre des solutions qui manque de tout et particulièrement
de poésie;
la naissance d'un
cinéaste avec The Fabelmans qui montre que Spielberg
peut lui aussi faire des merveilles avec des petits riens;
et les origines de
l'industrie du cinéma, avec Babylon le bien nommé,
bordélique à souhait, où le trop de tout débouche
sur un authentique objet de cinéma.