Les îles,
ça permet de circonscrire l'action, et de développer un
récit qui ressemble souvent aux légendes… Godland
ressemble à une épreuve pour le spectateur. L'ombre
d'un mensonge ne ressemble à pas grand-chose, en tous cas
pas à son réalisateur. Les Banshees d'Inisherin
ressemblent à du théâtre un peu réfrigéré.
Et Murina, ah Murina… voilà une tragédie
intemporelle qui ressemble à son interprète principale,
sublime, un peu effrayante, divine et pourtant tellement humaine…