Peut-être
est-ce parce qu’il fait beau sur Paris (et ailleurs aussi, certainement…),
peut-être est-ce à cause de la lumière si particulière
du début du mois de mai, quand le festival de Cannes n’est
plus si loin, peut-être n’y a-t-il pas de raison, mais voilà,
les amours impossibles ou dépressives m’ont ennuyé
cette semaine, comme celles des sombres solitaires de la solitude
des nombres premiers ou celles des amants balbutiants de la
ballade de l'impossible.
Là où d’ordinaire, en bon romantique que je suis,
j’y vois des sentiments sublimes, je n’y ai senti que du
gris sans avenir, de la tristesse vaine. Bon, c’est pas très
grave, ça reviendra, je vous reparlerai certainement plus tard
de mélancolie avec des trémolos dans les mots.