Pendant
que l'abruti en chef pérorait à la télé,
je vous concoctais cette petite mise à jour. Je n'ai donc pas
écouté l'ex-mairillon de Neuilly.
Lorsqu'il
sera descendu de son Olympe pour nains miteux, ou même avant,
un de nos cinéastes aura-t-il suffisamment de courage pour mettre
en scène tout ce qu’il représente d’immoral
et de pourri ? Les Américains ne s’en privent pas avec
la famille Bush, qu’est-ce qui empêche le cinéma
français de mettre les pieds dans le plat de l’immondice
qui nous gouverne, hein, qu’est-ce qui l’en empêche
?
Parce que ce ne sont pas les quelques piques très émoussées
dans le dernier Ozon (des références lourdingues à
certains slogans sarkoziens) qui vont pouvoir peser lourd dans la balance,
en deux mille douze…