23 mai 2008 : Noël au mois de mai


Bon, d'accord, vous avez un mois de mai d'enfer, vous êtes overbookés, vous avez un vrai métier (vous), d'accord. Mais quand même, pas un seul commentaire sur le petit bonheur ? Alors que j'y ai passé des millions d'heures ? Grmbl...

Je ne suis pas rancunier, j'ai à nouveau passé quelques nuits à concocter un nouveau jeu, qui n'est pas un rébus, et qui fera appel à votre sens de l'observation, à votre mémoire, et éventuellement à vos fantasmes. Et ben c'est quoi, alors ? Zavez qu'à y aller, pour voir...

Questions films, il y en a UN, un magistral, magnifique, splendide, intello, peut-être même que certains s'y ennuieront, mais tentez tout de même le coup, vous pourriez être surpris, c'est puissant, renversant, déstabilisant, joué à la perfection, avec une idée de mise en scène à la minute, et je m'en fous si vous me dites après que ça ne vous a pas plu et que jamais plus jamais vous ne suivrez mes conseils. Comme ça vous êtes prévenus, réservez deux heures et demie de votre temps précieux pour aller voir un conte de Noël, de Desplechin. Même moi, je le trouvais pénible, ce réalisateur. Mais ce film-là, c'est une splendeur.

Le reste, tout le reste n'est que fariboles, fadaises et fades images.

Ah si, il faut ici louer le sens paternel incroyablement développé de Pierre L., qui se tape des machins réservés aux moins de trois ans. Courage, Pierre, un jour ton fils aura seize ans et tu pourras l’emmener voir des vrais films…

Et puis Isabelle E-C a relevé une faute d’orthographe, dans une critique. Je l’en remercie, parce que ça m’a donné l’occasion de rajouter quelques images de la belle Scarlett. Allez voir dans le livre d’or…

Bon, vous avez compris ? Noël au mois de mai, y’a que ça de vrai.

Bon ciné !

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