16 mai 2008 : Enfin le petit bonheur

Italie bat USA, 1 à 0. Ce n'est pas un résultat de foot, bien qu'il puisse apparaître logique. C'est juste que sur quatre films, trois sont états-uniens, et ces trois-là ne sont franchement pas terribles, et le dernier est italien, et il m'a bien plus ému que les tonnes de conformisme des productions américaines.

Sinon, deux jours à tuer, que j'ai détesté (vous ne pouvez pas savoir à quel point...), vous plaît. Vous n'avez aucun goût. Non, j'rigole.

Thierry D. va voir des films sérieux, super-sérieux, mais question rébus, franchement, sa solution vaut le détour, et elle ne se prend pas au sérieux... La semaine prochaine, en plus du rébus, vous aurez un autre jeu. Mais pensez à aller au ciné, aussi. Ne passez pas tout votre temps à essayer de décrypter mes énigmes à la noix.

Rien à mettre dans le livre d'or cette semaine, je suis déçu. Si dans huit jours, c'est pareil, je serai très déçu.
Alors, pour vous émoustiller, le petit bonheur est ouvert. Comme dirait Agnès, il manque de testostérone, et comme dirait Philippe, certaines images vont déborder des petits écrans. Vous avez vu, j'anticipe les critiques. C'est un petit bonheur sur une de mes actrices préférées. Il y en aura d'autres, mais comme c'est un peu long à fabriquer, ne vous impatientez pas...

Mercredi prochain, il y a bien sûr papy Indiana que vous irez tous voir, avec vos enfants, votre conjoint(e), vos amis, vos parents, vos grands-parents. J'irai aussi, mais les deux autres films français qui sortent le même jour m'attirent beaucoup plus. Nés en 68 ressemble à ce qui n'a pas encore été fait, un état des lieux politique, social et sentimental de plusieurs générations, toutes concernés par l'année 68. Peut-être c'est une daube, peut-être c'est vach'tement bien...
Et puis, un conte de Noël, de Desplechin, dont vous vous avez forcément entendu parler, parce que Cannes, parce que palme d'or possible, parce que Deneuve...
L'espoir est en nos coeurs !

Bon ciné

al1