Une histoire de pédophilie, sordide. Deux enfants en sont victimes, et deviennent des ados tourmentés, mais très différents l’un de l’autre. Image très esthétisante, scènes provocatrices, malsaines. Harry Clark, sur des thèmes proches, fait des films qui posent des questions, montrent un malaise, on en sort troublé, inquiet. Là, dans ce Mysterious skin, il n’y a que du sordide, à la limite de la complaisance. A fuir.