| Octobre 2012   TedSeth MacFarlane
   It’s a such fuckin’ 
        film ! L’histoire en deux mots ? Un garçon asocial fait le 
        soir de noël le voeu que Ted, son « Teddy bear » soit 
        doué de parole et son vœu est exaucé.Ellipse d’une vingtaine d’années, et on retrouve John 
        et Ted « adultes ». John a un job de loueur de voiture, une 
        copine et un appart’. Bref une vie normale, mais il vit encore avec 
        Ted : sa copine ne peut plus supporter cette situation. John trouve alors 
        un appart pour Ted, et un job et une copine mais il ne peut pas s’en 
        défaire, surtout quand Flash Gordon apparaît dans la soirée 
        que l’ours en peluche organise…
 Un amalgame sympathique, où se mêlent Norah Jones, un enfant 
        gâté et son père faible psychologiquement, un canard, 
        un boss pas net etc
 Malgré un fil conducteur mauvais (si on peut qualifier ainsi cette 
        fausse histoire de couple, ce navet à la sauce US, un fil conducteur), 
        les bonnes grosses blagues du style pas conventionnelles me laissent une 
        excellente impression.
 Le casting n’est pas mal du tout avec une peluche admirablement 
        animée et à la voix de basse très sympathique de 
        Seth MacFarlane (le réalisateur), Mila Kunis dans le rôle 
        de la copine, éblouissante, Joel McHale, dans le rôle du 
        patron qui drague, fait un excellent « insupportable ». Après, 
        je n’ai pas aimé le jeu de Marc Wahlberg, le héros 
        tout de même, mais cela ne fait pas l’unanimité des 
        copines qui m’ont accompagné (je sais, je sais : ce n’est 
        pas un film pour draguer, mais ce n’était pas le but non 
        plus !).
 Une motherfuck’n critique des states à voir en VO pour faire 
        d’épatants progrès sur l’accent américain 
        et apprendre à dire « fuck » ou « shit » 
        sans passer pour un frenchy bastard.
 Gabriel P
   Un après-midi 
        au ciné avec les gamins... Atchoum !Poupée n'ira jamais à Jardiland.
 Chez Henri sur son divan. Rêveuse.
 Ma fille a une poupée prénommée ... Poupée.
 Enfant, elle a passé beaucoup de temps à marier Poupée 
        avec ses Playmobils, ses poissons ou avec un dinosaure en plastique bleu 
        de chez IKEA.
 Puis ma fille a grandi.
 Maintenant, elle écrit des vraies histoires (bien ficelées, 
        j'avoue, orgueil de génitrice mis à part).
 Poupée est toujours là, elle gesticule au milieu d'aventures 
        extraordinaires, lâchant des gros mots et des pets.
 Envoyant valdinguer Playmobils, mangeant les poissons et répondant 
        au dinosaure.
 Ma fille réalise aussi de vrais films.
 Avec un petit numérique en fonction vidéo, voilà 
        notre Poupée en tenue de bal qui présente la météo 
        ou qui rencontre Obama.
 Ah.. Quand la technique nous permet de laisser place aux délires 
        créatifs de nos enfants adorés ! Soupir.
 Au ciné sur mon fauteuil. Songeuse.
 Le fils du producteur doit avoir un ours prénommé ... Ted. 
        C'est ce que j'ai conclu du film en soupirant.
 Ni roman d'apprentissage comme tentent de le faire croire certains critiques 
        de ciné ni film trublion remettant en cause un quelconque ordre 
        établi encore moins tentative de démystification de l'enfance.
 Avec Ted on attend la bonne surprise tout le long du film.
 L'intérêt du film réside dans les dialogues trash 
        qui sont éructés par un gentil nours en peluche alcolo-érotomane.
 Quand on a de la ouate à la place du cerveau, laisser les parties 
        manquantes prendre le pas sur la raison est dans l'ordre des choses.
 La peluche a de bonnes réparties. Tout n'est pas à jeter.
 En face... les humains peinent à tenir la distance.
 Pour résumer, à ne pas voir en famille, (Un site de ciné 
        le donne pour "tout public".)
 Effectivement, le scénario est du niveau collège mais les 
        réparties pour adultes risquent de mal passer pour les petitous.
 A la place de ce site, j'aurais mis "ratisse large".
 Normal pour un ours qui passe son temps à parler de pelouse ou 
        de gazon.
 Léa a donné son accord pour l'utilisation du prénom 
        de sa poupée !!
 (Une copine est allée voir ce film avec ses gamins... elle croyait 
        que c'était un film "familial" !) . Tedéçue 
        ? je lui ai dit...
 
 MCie
   Vous n’avez pas 
        envie de réfléchir, vous voulez simplement vous rendre en 
        salles obscures pour vous divertir, sortir de votre quotidien infernal 
        et vous évader un peu dans une comédie complètement 
        loufoque qui emprunte les clichés du genre à un certain 
        Very Bad Trip ? Dans ce cas, n’hésitez plus, Ted est fait 
        pour vous ! Ainsi, partant d’un pitch de départ original 
        mais annonciateur d’un navet pur et dur, la dernière production 
        du créateur des Griffin ne s’entête pas à construire 
        LE film de l’année ou à témoigner au reste 
        du monde son envie irrépressible de balancer du sentiment en pleine 
        figure. Non, son seul et unique objectif est de vous faire rire, non pas 
        à travers un humour similaire à celui d’un Scary Movie, 
        mais bien en usant de gags à la limite du ridicule et probablement 
        imaginés par un scénariste de 4 ans. L’introduction, 
        très rapide, place le contexte d’un enfant rejeté 
        par ses pairs, qui fait le vœu d’avoir SON meilleur ami, un 
        ours en peluche. Une introduction qui confirmait la première impression 
        du film, niais et sans envergure, sous une VO aussi mauvaise que celle 
        de The Dark Knight Rises. Mais, coup de virage, cette impression n’est 
        pas la bonne, et Seth MacFarlane nous le fait regretter en nous projetant 
        dans un monde fantastique où Ted, l’ours en peluche devenu 
        toxico, pervers, alcoolique et totalement irresponsable, devient la raison 
        d’être du métrage. Epaulé par Mark Wahlberg, 
        ce duo inespéré casse les limites du genre, désactive 
        son cerveau et envoie du lourd. Elément perturbateur, la belle 
        Mila Kunis endosse le mauvais rôle du film, celui de la mère 
        qui doit responsabiliser ces deux enfants, rompre le charme et attendre 
        patiemment la venue de minuit. Mais, malgré quelques mésaventures 
        plus houleuses qu’intéressantes, même si utiles au 
        récit, le métrage ne perd pas de ses attraits et profite 
        du renom de son réalisateur pour attirer du monde. Pour conclure, 
        Ted n’est certes pas le must de cette année 2012, mais représente 
        très certainement la bonne surprise, faisant abstraction de son 
        image et proposant maintes scènes méchamment drôles.
 Matthieu H
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