Janvier 2007

Rocky Balboa
Sylvester Stallone

 

La fin d'une longue histoire, Rocky clôture son dernier combat avec hommage et honneur au courage, avec persévérance dans ses convictions.
 
Sylvester fait passer un message fort avec une force de frappe  déracinante. Cette force ne vient pas du KO qui clôture un match, une bataille, mais d'une morale simple qui amenée avec une  telle force, vous assoit sur votre siège et vous met devant l'évidence que ce qui est important, c'est de croire en ce que l'on fait et d'accepter les échecs, qui sont les moteurs de la réussite, qui sont des sources de rebondissements pour une nouvelle étape. Vous allez me dire, oui bien sûr, cette morale père, mère, grand parents, grand  frère ... Enfin tout le monde nous la ressort avec sa version, ce qui est vrai, cette morale perd de sa superbe si tout le monde la connaît, mais là, avec le rôle paternel de l'ancien boxeur, de son fils étouffé par l'image de son père, la morale prend une dimension, une envergure percutante de bon sens et  d'évidence. Sa vie on se la construit, les excuses, les boucs émissaires, les responsables, sont d'abord soit même.
 
Bon voilà c'est mon point de vue !

Pierre L.

 


Un homme baraqué en survêtement, bonnet sur la tête, court dans le froid humide des rues de Philadelphie en donnant des coups de poing dans le vide au son des trompettes, Rocky, c’est quelque chose.
Cousu de fil blanc ce film offre un excellent moment, plein de nostalgie, de tendresse, d’attendrissement, et une belle morale optimiste !

Dominique P.