Mars 2017
Félicité
Alain Gomis
Elle ne sourit pas
beaucoup Félicité. En revanche, elle est libre, indépendante
et terriblement déterminée. Et puis, elle a une quête.
Un combat à mener. Ça va vite.
Quand cette quête disparait, le film prend une autre tournure :
lent, onirique, … on peut y voir plein de choses : la dépression,
la difficile reconquête vers la vie, les deuils …
Ca fait plusieurs jours que je l’ai vu et ce film reste là.
La musique, les rues de Kinshasa, les frigos qui ne marchent plus et remarchent
.. comme la vie. Grace à la magie des gens.
J’avoue avoir piqué du nez à quelques moments. Mais
au total j’adore ce sentiment qui reste.
Thierry D. le 15 avril 2017
|
|