Septembre 2007
Les Amours
Le film de Rohmer est
très charmant, même si, comme toujours, il peut devenir irritant.
La fausseté de l'élocution se renverse ici à cause
de la langue du XVIIe, prononcée avec un naturel délicieux,
mais qui continue de garder le spectateur bien à distance, malgré
l'érotisme allié à la beauté des acteurs et
des tableaux. |