Wall.E **

Andrew Stanton

L'histoire

L'histoire d'un petit robot nommé WALL-E, à la recherche du grand amour sur Terre... et dans l'espace !

Animation


Sorti

le 30 juillet 2008

La fiche allociné

 

 

La critique d'al 1

Splendeur de la robotique

Attention, petite splendeur, pour tous publics. Malgré la linéarité du scénario et la fluidité de l’animation, on sent comme un enthousiasme de débutant, une pétulance dans la façon de mettre en scène qualues situations bien connues. Si la trame de l’histoire est au fond assez classique, on peut être surpris par la description de l’univers dans lequel elle se déroule, une vision apocalyptique du monde, une société à la Orwell, avec au passage une stigmatisation d’un grand nombre de travers de la civilisation américaine (et donc mondiale…) : obésité, abrutissement intellectuel, gestion à court terme des questions environnementales.
Les deux personnages principaux, robots plus humains que les humains, ont été particulièrement choyés par les scénaristes et les animateurs. Lui est une sorte d’éboueur romantique, techniquement totalement dépassé par celle dont il tombe amoureux : une robote (!) à la mission mystérieuse, aux formes pures, sans état d’âme.
Bourré de références, de Chaplin au 2001 de Kubrick, en passant par les comédies musicales des années 50, Brazil ou Blade Runner, l’ensemble est furieusement réjouissant, semblant plus créé par une équipe d’allumés fous de cinéma que par des industriels soucieux de faire du chiffre.
La poésie est omniprésente dans la mise en scène qui se fait parfois contemplative, prenant son temps pour livrer le plus beau des films Pixar, drôle, émouvant, nostalgique… un bonheur !

 

 

 

 

 

 

Vos commentaires

Très chouette !
Je n’ai pas vu le papillon et le scaphandre (tu sauras mettre ça dans le bon sens) mais c’est un peu le cas de la charmante Eve une fois sa mission accomplie (pas commode la gonzesse, un poil à cran … un peu Angelina jolie-jolie non ?)
Très bonne idée l’incomparable, intelligente, fine Pascale Clarke en VOIX !

J’aime bien l’idée des fadas qui s’attachent aux amoureux (circulez, circulez dit l’un d’eux quand ils se bisouillent)

Quand Eve arrive dans le repère de Wall E il l’occupe comme on occupe un enfant, sauf qu’elle fait trop fort (les p’tites bulles pas du tout comme la petite vieille mongole avec la protection de la télé ; c’était dans quoi ??? un film russe ???)

(URGA, me semble-t-il, de Mikhalkov (1991), al1)


Un début de thème musical de l’étoile noire à l’arrivée sur Axiome ??
Qu’est-ce qu’on s’en fout des nano aventures de Mary et ?? Sumo sans intérêt, pourquoi sont-ils là ?
Très bon : Otto, le pilote auto-matique
Même la convocation de Peter Gabriel à la fin était là pour les quadras cinéphiles !

Et le meilleur de tout : le court métrage. Vive bugs bunny, Tom & Jerry, bip-bip et le coyote ….  Et désormais le magicien et son lapin : du très grand art.

Agnès L. le 4 août 2008

 

C'est en effet une énorme production, du grandiose, animé et rendre humain des robots atypiques, qui ne s'apparente en aucun cas à un être humain c'est énorme, tout le travail passe par la gestuelle de bras articulés, de pivotements de tête, de silences. Un silence précis adapté au dialogue si pauvre qui laisse toute la place à la poésie, et c'est la que la dimension humaine apparaît.
Waaaall...e et EeeeVE, tout est dit !

Pierre L. le 7 septembre 2008

 

C’était rigolo au moment où Wall-e découvre la fille. Elle  a sorti son pistolet, c’était  marrant, après ils étaient amis.

Antoine L. le 7 septembre 2008

 

Je suis allée voir Wall E ,c'est super ! Même si j'espère que cela n'arrivera jamais .

Chloé B. le 7 septembre 2008

 

 

Envoyez votre commentaire