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        pour ce film Du grand, du beau, 
        gigantisme et si effrayant. Avec Omo Deus, un style simple, facile à lire, avec de multiples 
        rebondissements de l'après IA et de son arrivée inéluctable, 
        nous voici en complément avec player one, face à nous même 
        et notre avatar. Notre vie bascule entre un mélange de réalité 
        réelle et de réalité virtuelle. Notre avatar ne fait 
        presque qu'un avec nous même. Ainsi nous sommes comme immergés 
        dans un jeu dans lequel nous travaillons, et nous nous retrouvons. Nous 
        y dépensons nos biens, ce qui reste de notre vraie vie. Tous cela 
        aurait démarré quand selon player one, l'homme a pris la 
        décision de ne plus réparer ses erreurs, de ne plus mettre 
        des rustines pour tenter l'impossible réparation. Et selon Omo 
        Deus, lorsque l'homme demandera à l'IA de choisir à sa place.
 Ce film dépasse l'entendement, il ne s'agit plus de savoir si les 
        effets spéciaux sont bien faits ou si les acteurs sont bons, les 
        2 sont très bons, le scénario également. Mais le 
        thème qui est traité est si fort, si réaliste si 
        près de nous, que ce divertissement, ce jeu, en fait non ce film 
        devrait être une interrogation sur ce que nous souhaitons et non 
        sur ce qui ce fera.
 Pierre L, le 3 avril 
        2018   Un bon film avec des références 
        appuyées à la pop culture des années 70 à 
        fin 90, aussi bien la BD, la musique, les clips, les consoles de jeu ou 
        le cinéma.
 Des héros positifs qui défendent des valeurs telles que 
        l’amitié, l’enthousiasme et l’entraide, un peu 
        d’écologie en face d’un méchant bien veule et 
        manquant de courage.
 J’ai plus été sensible aux références 
        cinématographiques qu’aux références de jeux, 
        même si les scènes d’actions étaient à 
        couper le souffle.
 L’immersion réussie dans l’univers de Shinning m’a 
        fait plonger dans le film et je n’en suis sortie qu’à 
        la fin des 2h20, sans longueur ni lassitude.
 
 Isabelle E-C, le 2 mai 2018
     La sinistre compagnie 
        est dirigée par un homme en cravate (Ben Mendelsohn) chaque acteur 
        offre une prestation correcte. Le film enchaîne des allers-retours entre la réalité 
        et les univers virtuels.
 Toutes les scènes de l'OASIS sont réalisées en images 
        de synthèse très riches graphiquement, il y a de nombreuses 
        scènes d’action et de multiples références 
        à la génération 80-90 : pop pour la musique.
 Ambiance adolescent, c'est plein de bons sentiments et c’est bien 
        fait.
 
 Dominique P, le 13 mai 2018
 
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