Le premier jour du reste de ta vie

Rémi Bezançon

L'histoire

Cinq jours décisifs dans la vie d'une famille de cinq personnes, cinq jours plus importants que d'autres où plus rien ne sera jamais comme avant...

Avec

Jacques Gamblin, Zabou Breitman, Déborah François, Marc-André Grondin, Pio Marmai

Sorti

le 23 juillet 2008

La fiche allociné

 

 

La critique d'al 1

Ersatz de saga familiale

 

Pour quelques trop rares instants de jubilation, il faut subir toute une histoire familiale un peu décousue, pas aboutie, pleine de clichés, typique de la majorité des films français qui se veulent choraux : de belles intentions de départ diluées dans un grand manque d’ambition et de personnalité. Le film n’est pas nul, il y a même quelques jolies émotions, mais les personnages et leurs histoires respectives s’oublient très vite, et l’ensemble est finalement d’un intérêt très moyen. La présence de Marc-André Grondin fait parfois penser au film québécois CRAZY, mais en restant très loin de sa truculence, de sa justesse de ton, de la somme de ses idées de mise en scène.

 

 

 

 

 

Vos commentaires

Ce film sur le temps qui passe est un peu longuet, mais c'est fin, léger, grave, intelligent, jamais vulgaire, c'est la famille, c'est la vie, la difficulté d'exister au milieu d'un groupe, l'envie d'indépendance et la peur de la solitude et on se reconnait dans les personnages, à voir par ceux qui aiment la Vie, A partager...

Dominique P. 24 juillet 2008

 

 

Un film, un phrase culte qui pourrait l’être dans le contexte de l’ado qui transcrit ses pensées dans son carnet intime !

Mais dans cette famille de 5, tout le monde y passe. « Passe » c’est le passage de l’ado à l’adulte, de la fille à la jeune femme, de parents face à eux-mêmes auparavant, face à leur propre morale, face à la réalité. C’est un morceau de vie, une caméra portée à l’intérieur d’une vie qui aurait pu être celle de son voisin, pas besoin d’enfant d’ailleurs pour rencontrer autant de contraste et évoluer.
L’expérience si nous la prenons comme un moteur, comme un combustible pour avancer, en passant du charbon pour la locomotive, au kérosène pour les avions et au vent pour faire tourner les éoliennes, nous pouvons nous rendre compte que cette expérience fait évoluer !

C’est le ressenti de cette comédie originale, sans contraste, et efficace en sensibilité et réalisme.

Pierre L. 13 août 2008

 

 

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