Vos commentaires
pour ce film
Bouleversant, ce film
est tour à tour agaçant, émouvant, profondément
désespérant et extrêmement lumineux.
Plein d'énergie, d'amour, cela faisait longtemps que je n'avais
pas été aussi chamboulée par un film.
L'histoire est très dure, les trois personnages principaux sont
très justes et touchants.
La saison est propice aux bons films mais celui-ci est excellent.
Isabelle EC, le 11 octobre 2014
Aye, aye, je n'ai pas supporté
ces deux personnages hystériques, le fils autant que la mère.
Les sous-titres nous apportent une seconde lecture, ce n'est pas le même
texte. C'est doublement pénible. Heureusement que le 3e personnage
est là, ça permet de se calmer. Et tout ça englué
dans un flot de chansons sans intérêts. Pas à dire
j'ai préféré "Tom à la ferme".
Kosmo, le 3 novembre 2014
poids lourd pour les émotions
!
comment ne pas être terrassé par ce film ?
d 'accord les sous-titres sont un peu gênants mais comment faire
sans eux ?
je n'ai pas vu d'hystérie, seulement des êtres humains qui
font ce qu'ils peuvent : les cris font partie de la vie.
c'est tellement à part que c'est un peu bête de dire que
c'est le meilleur film de l'année et pourtant ça l'est.
lothaire, le 14 novembre
2014
A la faveur du festival
Telerama BNP Paribas, face à l'enthousiasme général,
ou presque, de mes proches, je suis allée voir Mommy.
Belle lumière, belles couleurs, beau cadre, beaux costumes, bons
sous-titres, bons cadres, bons travellings (on les voit vraiment très
bien et on a le temps de s'interroger sur la technique ...) belles musiques,
bons acteurs, beaux paysages, belle tension ... Grosse maîtrise.
Ni vain, ni bavard. Un cinéma qui n'est pas un robinet d'eau tiède.
Je pourrais dire : contrairement aux derniers films que j'ai vus. Quelque
chose de bien en quelque sorte. Mais d'où vient alors que j'ai
eu le temps de tout voir venir ? L'excellence du cadre carré qui
nous met bien les acteurs au centre de l'affaire; Céline Dion si
populaire ; La densité simiesque de l'acteur; le poids de ses absences
auditives; le dernier plan tellement téléphoné ...
Une sorte de cinéma brut, comme il y a de l'art brut, cet art plastique
sans académisme, fait par les fous, les autodidactes. Un art nécessaire
à son auteur, d'une grande perfection, avec un air de déjà-vu.
Une proche, très au fait de ce genre d'histoires, du genre professionnelle,
m'a assuré de la véracité de la situation. Ça
se tient.
Agnès L le 24 janvier 2015
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