Top 8 2017 dans l'ordre
Valerian, bravo Luc, n'abandonne pas la science fiction à gros
budget. Pour le décor, la fraîcheur et l'esprit français.
Belle évasion.
Star wars pour l'osmose.
Ghost shell pour son originalité.
L'Orient express pour le retour de la conscience avant la justice.
Wonder woman pour une femme en super héros courageuse, intelligente,
féminine et classe.
L'échange de princesses pour l'intrusion dans un monde crédule.
Pirate des caraïbes pour sa piraterie déjantée
Les gardiens de la galaxie pour la musique.
Pierre L.
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Mon top films 2017,
les 10 films qui m’ont marquée (sur les 34 vus), par ordre
de sortie dans l’année et non par ordre de préférence,
mon préféré pour 2017 étant tout de même
La La land.
La La land
Moi j'ADORE les comédies musicales et les comédies romantiques.
L'association des images magnifiques, de la musique, de la danse et
de l'amour fonctionne sur moi comme un déclencheur d'émotions
très fortes. Les situations et les interrogations ne paraissent
jamais artificielles, les obstacles et les choix ne sont jamais futiles.
Pour moi le nouveau film de Damien Chazelle est un chef d'œuvre
Patients
Tendre, plein d'humour et de vie, jamais larmoyant c'est un excellent
récit avec des personnages forts et vrais. Émouvant, avec
des drames et des passages de bonheur doux, on a l'impression de vivre
la lenteur et la difficulté de cette convalescence.
Moonlight
Très beau film, très fort, qui suit la vie difficile d'un
jeune homme des quartiers populaires de Miami en trois étapes
: l'enfance, l'adolescence et l'âge adulte. Des personnages complexes
et attachants, de la violence, les ravages de la drogue, des joies simples
comme les bains de mer, et enfin une belle histoire d'amour, ce film
nous emporte dans une émotion au-delà des apparences.
Lion
Histoire vraie et bouleversante, pas d'eau de rose, ni de mièvrerie,
nous ne sommes pas à Hollywood, mais en Inde et en Tasmanie.
L'image est très belle, les acteurs sont crédibles, le
récit est extrêmement bien mené.
Visages Villages
Documentaire "Arty" un peu "foutraque" mais qu'est-ce
que c'est bien. Le film est tendre et sensible. Ils intègrent
de l'art dans la vie des gens, comme ces yeux placardés à
Valenton en bordure de voie ferrée, qui accueillent ceux qui
viennent du sud.
Ils intègrent aussi les gens dans leur œuvre, avec délicatesse.
C'est touchant et c'est beau.
120 Battements par minute
Comme « Dallas buyers club » pour les Etats unis et «
Pride » pour le Royaume Uni, le film nous plonge dans une époque
et un combat qu’on avait un peu oublié. Un film sur la
vie et le combat, la résistance, l’amour, l’engagement
et la mort dans les années 90, avec une belle histoire d’amour,
des scènes de sexe et de danse et une bande son d’époque.
Wind River
Excellent polar qui se déroule dans une réserve indienne
enneigée du Wyoming, par une température ambiante de -15
à -20 C. On pense à "Fargo", mais aussi à
"Manchester by the sea", les personnages étant marqués
par un drame passé dont on ne se remet pas. L'environnement social
et ethnologique est bien campé dans des paysages à couper
le souffle. La vie est rude à l'ouest des États Unis et
elle ne fait aucun cadeau.
Detroit
Brutal, immersif, inspirant la révolte, ce film nous plonge dans
les émeutes de l'été 1967 à Détroit,
Michigan. C'est la guerre, pas celle du Vietnam qui se déroule
pourtant au même moment, mais une guerre civile teintée
de racisme qui mêle la population jeunes ou non, noire et blanche,
la police de la ville, la police d'état et la garde civile (l'armée).
Devant tant d'injustice si bien illustrée on en a la nausée,
j'en suis sortie bouleversée.
Au revoir là-haut
Emouvant et beau, poétique et politique aussi, on suit l’histoire
et les personnages avec émotion, des tranchées au Paris
des années 20 en passant par le Maroc. Un Paris de l’entre-deux
guerres, tout en contrastes, avec ses taudis et ses hôtels particuliers,
ses gueules cassées et ses profiteurs de guerre.
The Florida project
L’envers du rêve américain à hauteur d’enfants
et en Technicolor. Sous le soleil de la Floride près de Disneyworld,
c’est une plongée bouleversante dans la misère du
sous prolétariat, les mères célibataires, les petits
boulots, les bêtises (petites ou grandes) des enfants de six ans
laissés à eux-mêmes, sans surveillance et sa repère.
C’est poignant, terriblement crédible et les acteurs sont
tous excellents.
Isabelle E-C
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2017 c'était vraiment pas
facile. ça doit être l'air du temps, rien n'est facile
dans cette vie de merde, la preuve avec mon top 10 :
"Makala" et "Florida project" parce que c'est pas
facile de ne pas avoir une tune
"Moonlight "parce que c'est pas facile d'être homo,
même aujourd'hui
"Patient" parce que c'est pas facile quand tu te casses la
gueule
"120 battements par minute " parce que c'est pas facile de
vivre quand tu as chopé le Sida
"Au revoir là-haut" parce que c'est pas facile d'avoir
un papa con et une sale gueule
"Chez nous" parce que c'est pas facile d'être blonde
et de voter FN
"Lion" parce que c'est pas facile de perdre ses parents
"Wind River" parce que c'est pas facile de vivre au milieu
des bourrins ricains
"Lalaland" parce que ça fait du bien de temps en temps
quand tout est facile ... sauf de pécho la bonne !
Philippe C
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Heureusement que ton site est là
pour se souvenir...
Alors si l'ordre n'a plus d'importance c'est bien
Le sens de la fête et Le grand méchant renard pour avoir
bien ri
Visages villages et Téhéran Tabou pour une autre réalité
Ce qui nous lie et Une famille heureuse pour la famille justement
Get out et Que Dios nos perdone pour le frisson
Ali, la chèvre et Ibrahim et Silence que j'avais quasi oubliés
et dont le souvenir est là quand même !
Belle année à tous
KDB
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pour le Top 2017
Au revoir là-haut
120 battements par minute
Patients
Les deux premiers pour la beauté, la violence, la poésie,
les émotions, les questions qu’ils dégagent
Le 3ème pour sa spontanéité, son humour, son optimisme.
Caroline B
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Le sens de la fête
Petit paysan
le crime de l'Orient Express.
Continuez à nous faire partager vos avis que j'apprécie
de lire même si je ne vais que peu au cinéma.
Mireille Girardot
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10 films par ordre de diffusion
PATIENTS
THE WALL
DUNKERQUE
VALERIAN LA CITE DES MILLES PLANETES.
BABY DRIVERS.
WIND RIVER.
PETIT PAYSAN
DETROIT
AU REVOIR LA HAUT
LE BRIO
Dominique P
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Voici mon top 5 2017
baby driver
patients
le serpent aux milles coupures
au revoir là haut
the foreigner
Charles C
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En notant mes films préférés,
je me rends compte que ce sont presque tous des films "coup de
poing" emplis de violence physique et psychologique.
En ces temps troubles et perdus, les réalisateurs veulent nous
secouer!
- À mon âge je me cache encore pour mourir
- Le Caire confidentiel
- Detroit
- Faute d'amour
- Corporate
Avec cette pointe d'humour british:
- The Party
Pour son originalité :
- 11 minutes
Pour leur humour sarcastique et leur côté caustique :
- Patients
- Ava
Et enfin n'oublions pas les documentaires :
- Kedi, des chats et des hommes
- 12 jours
Bonne nouvelle année cinéphile !!
Argantael
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Cette année, un top 6. So
6
Et là c’est drôle, je me rend compte que les 6 films
qui volent un peu au-dessus des autres dans la mémoire de mes
émotions sont tous des films très ancrés au réel
; porteurs, non pas d’un message mais d’une lecture engagée
de notre société, un peu chancelante, faut le dire, notre
société. Alors :
• Villages Visages, qui plane très haut. Poétique,
drôle, sensible … le beau cocktail de l’art et du
quotidien ; exigeant et accessible, comme quoi c’est possible.
• 120 battements par minute, un coup de poing. L’urgence
de la vie et des combats. Comme on peut.
• Petit Paysan. Un récit au niveau de l’humain, de
l’émotion, de ce qui nous relie à la terre …
tout ça confronté à d’autres logiques, économiques,
sociétales … sans caricature. Un film qui pose des bonnes
questions plus qu’il ne prétend apporter des réponses.
• Au revoir là-haut. La gageure de bien traiter l’horreur
de la guerre et le cynisme des puissants avec une grande poésie.
Un grand film qui transcende un grand bouquin
• Je danserai si je veux : Le quotidien de trois palestiniennes
à Tel Aviv et en coloc. Un regard fin et nuancé sur des
poids terribles qui pèsent sur la majorité de nos contemporains
(contemporaines surtout) : les dogmes moraux ou religieux, le patriarcat
et leurs lots de violences
• Demain et tous les autres jours. C’est drôle, un
peu perplexe en sortant, mais des images fortes qui m’en reviennent.
Pas tant le cheminement de la petite fille que la folie tendre de sa
mère ; Et des sacrées trouvailles.
Thierry D.
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Mon TOP 7 (ou 8, si tu retiens Manchester
by the sea.... c'est toi l'arbitre)
Grave
Certaines femmes
Le Caire confidentiel
20th century women
L'homme aux milles visages
Une femme fantastique
Faute d'amour
Manchester by the sea
Mon top 3
Grave
20th Century Women
Faute d'amour
Les pires ciné-crotte : Lalaland, the lost city of Z, Le livre
de la jungle
c'est pas le but mais ça fait du bien :)
Hélène DP
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J'ai vu peu de films
cette année, mais voici ceux que j'ai aimés :
Le sens de la fête (si drôle et quel rythme!)
Au revoir là-haut (pour la justesse et le regard expressif de
Nahuel Pérez Biscayart et mon malaise au cinéma pour de
vrai! ;))
La promesse de l'aube (Charlotte Gainsbourg est incroyable de justesse
à travers les différents âges de la vie, et son
accent sonne juste)
Coco (j'ai pleuré!)
Chris
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Une année faste pour le cinéma
français, et j'ai décidé de lui consacrer la grande
majorité de mon TOP10 de l'année.
- Au-revoir là-haut (Albert Dupontel): adaptation brillante et
réussie, totalement maitrisée du roman dense de Pierre
Lemaitre. A la fois romanesque, poétique, subtil et superbement
interprété (mention spéciale à Niels Arestrup
toujours impeccable). Et le film a été un vrai succès
public, la qualité paie. Changement de registre réussi
pour Dupontel.
- 120 battements par minute (Robin Campillo) : un sujet fort et original
jamais traité au cinéma, des scènes chocs qui peuvent
heurter, mais c'est une œuvre puissante et lyrique avec des jeunes
acteurs peu connus (dont Nahuel Perez Biscayart déjà présent
dans le Dupontel) en état de grâce
- Le sens de la fête (Nakache et Toledano) : changement radical
de style par rapport aux deux premiers films cités mais quoi
de plus réjouissant qu'une comédie réussie. Un
vrai sens du rythme (avec en permanence des dizaines de personnages
à l'écran, c'est très compliqué à
faire), un film choral où tous les rôles ont un sens. On
pense au ciné de De Broca ou Rappeneau de la grande époque.
C'est de loin le meilleur film de ces deux réalisateurs et le
César est assuré pour Bacri
- Petit paysan (Hubert Charuel) : Catégorie « petit film
» Pour un rural comme moi le film a été une vraie
bonne surprise. Traité comme un thriller cette histoire de jeune
paysan qui refuse qu'on vienne lui prendre son troupeau malade prend
aux tripes.
- Visages, villages (Agnès Varda et JR) : Toujours bon pied bon
œil notre Agnès Varda nationale, j'avais adoré ses
Plages d'Agnès (encore plus abouti) ces dernières années.
Sa rencontre avec JR et les rencontres du film m'ont beaucoup plu.
- L'Atelier (Laurent Cantet) : Un sujet original (un atelier d'écriture
mené à la Ciotat par une écrivaine parisienne et
son face à face violent, troublant avec l'un de ses élèves).
Marina Fois est incroyable dans le film
- Dunkerque (Christopher Nolan) : encore un film sur la seconde guerre
mondiale mais traité de façon très originale, presque
sobre, avec trois unités de temps distinctes. C'est passionnant
- La la land et Tous en Scène : Toujours passionné de
comédies musicales, voici les deux préférées
de l’année, une préférence peut-être
pour Tous en Scène, véritable festival d'hommages en tout
genre à tous les styles musicaux. Un vrai bon feelgood movie
bourré de gags.
- The Square (Ruben Ostlund) : le film a eu la palme d’or (contestée
à Cannes). J’ai bien aimé cette fable, satire de
la bien-pensance et de l'hypocrisie de notre société moderne.
Et la scène de l’homme-singe est absolument dingue.
HAMEL
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Jeannette, l'enfance de Jeanne
d’Arc - Bruno Dumont
Braguino - Clément Cogitore
Petit paysan - Hubert Charuel
en bonus un téléfilm
Un ciel radieux - Nicolas Boukhrief
kosmo
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La promesse de l’aube
Fan inconditionnel de l’auteur et du roman, et pourtant le film
a su me transporter tout le long de la jeunesse chaotique de Romain
Gary. Pierre Niney plus que convaincant (on ne peut pourtant pas dire
que la ressemblance physique soit frappante avec Gary), Charlotte Gainsbourg
tout bonnement admirable, elle EST Nina.
Au revoir là-haut
Pour moi c’est un grand film ! Mais comme le roman est grand…
(on verra quand je l’aurai terminé) On a juste envie d’aider
Albert, prendre soin d’Edouard et détester Pradelle. C’est
beau, triste, drôle, avec une brochette d’acteurs à
l’unisson.
120 battements par minute
Un véritable tourbillon, des personnages forts, des émotions
à l’état brut, tous ces moments où l’on
sourit malgré la tension dramatique omniprésente, et un
éclairage bienvenu sur cette période que je n’ai
pas connue.
Ce qui nous lie
C’est tout simple, ça n’a l’air de rien, mais
voilà un Klapisch qui donne juste envie de continuer à
fredonner la chanson de Camélia Jordana à la sortie du
ciné et qui fait que l’on se sent bien…
Grave
Elle est facile, mais en voilà un film marquant, mordant…
Il y a le sujet principal, et tous les éléments gravitant
autour pour lui donner cette force incroyable : les rituels étudiants,
le campus isolé du reste du monde, le passage à l’âge
adulte et les liens familiaux… Difficile de ne pas y repenser
les jours qui suivent la projection.
La la land
Je le mets, je le mets pas ? Allez, je le mets. Pas le film de l’année,
mais un feel-good movie, par ce temps de gueux, ça ne fait pas
de mal !
Blade Runner 2049
Une immersion dans un futur –pas si éloigné –
effrayant de déshumanisation, de noirceur et de solitude. Et
paradoxalement, un film d’une rare beauté. Pari réussi
pour Denis Villeneuve qui s’empare avec réussite du mythe
de Ridley Scott.
Olivier B
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Blade Runner 2049
Ghost in the shell
They call me Jeeg Robot
Re-alive
The girl with all the gifts
Jean Philippe V
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Au revoir là haut : je n'ai
pas lu le livre, suis donc arrivée vierge e toute attente, si
ce n'est celle d'un Dupontel. Formellement superbe, suis fan de masques
donc bonus pour moi et la scène d'ouverture est tout simplement
époustouflante
Wind River : pour le côté noir dans un décor blanc,
pour la morale ambigüe et les personnages complexes
They call me Jeeg Robot : pour le réalisme des quartiers de banlieues
italiennes et la langue, pour l'art de faire un film de super héros
qui n'ait rien à voir avec les Etats Unis (et ça repose
!)
L'échange des princesses : pour la beauté formelle, les
couleurs et le contraste avec un propos dramatique
Blade Runner 2049 : pour l'ambiance et le visuel
Sinon, pas trouvé de grands crus dans la vingtaine de films vus
Marie Ange O
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Le top 5 d’Al1 permet à
chaque fois de se faire une liste de ce que l’on a vu dans l’année.
Et quand on fait la liste à deux, on est toujours consterné
du dialogue qui s’établit à propos de certains films.
Le dialogue commence invariablement par « Mais si, tu te souviens,
c’est le film qui… » . Et là c’est mauvais
signe. Car effectivement on ne se souvient pas très bien, voire
absolument pas, parfois même après avoir revu la bande
annonce sur Allo-ciné. On en vient à prétendre
qu’on n’était pas là, que c’était
avec un(e) autre qu’il(elle) avait du le voir…
Cette année sur la petite quinzaine de films vus, certains ont
donc presque complètement disparu de ma mémoire (Personal
affairs, citoyen d’honneur, Lion).
Pour d’autres je me souviens avoir été un peu déçu
(La-La Land, Visages, villages).
Il y aussi la catégorie des sympas sur le moment, mais dont il
ne reste pas grand chose (Valérian, Dunkerque).
Il y aussi les films intéressants par le sujet, mais au fond
ce n’est pas du cinéma (120 battements par minute, A voix
haute, la force de la parole).
Pour compléter, il y aussi la catégorie « il y a
des jolies images » (L’échange des princesses)
Et donc au fond que reste t’il ? Et bien un film dont à
peu près toutes les scènes sont encore dans ma mémoire,
qui m’a ému, qui m’a fait rire, qui m’a donné
la pêche, qui m’a tenu en haleine pendant 1 heure et demie,
que je reverrai évidemment un jour et que je recommande à
tous :
Patients.
Philippe L
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Et voila mon TOP 10 sur 49 films
vus sortis cette année
Silence
Jackie
Neruda
Les proies
Blade Runner 2046
The square
120 battements par minutes
Faute d'amour
Good time
Le redoutable
Romain G
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Mes 5 films de l’année
:
Le sens de la fête
Blade Runner 2019
Au revoir là haut
Dunkerque
120 battements par minute
Vinceparis
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Mon top 8 2017 :
Au revoir là haut : très belle adaptation du roman : j’y
ai retrouvé tout ce que j’avais imaginé à
la lecture et un Albert Dupontel inoubliable.
Le crime de l’Orient Express : parfaitement parfait dans la mise
en scène, les acteurs et les superbes images du paysage et de
l’Orient Express (et pourtant je n’avais pas choisi de le
voir : je me suis trompée de salle…)
Faute d’amour : j’ai du mal à en parler : il faut
aller le voir..
Lion : c’est une très belle histoire
120 battements par minute : pour un militantisme dans tous ses états
Corps et âme : entre rêve et réalité
Le sens de la fête : pour la fête et un Bacri de bonne humeur
Certaines femmes : pour ces portraits de femmes fragiles seules qui
m’ont bouleversée
Nicole C
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Désolée,
cette année j’ai pas vu beaucoup de films…
Alors, en faisant mes devoirs, je me suis aperçue que j’ai
aimé des films de femmes, indépendants, avec des prétextes
surnaturels et des parallélismes pour exprimer des mutations
et …..Mooneeeeee
Ghost story
Elle veut quitter la maison, lui non. Pressent qu’il appartiendra
pour toujours à ces lieux!
L’inertie ambiante nous plonge dans notre propre rapport au temps
qui passe (vivants ou morts). Le fantôme mémoire des lieux
pour l’éternité et comme elle est longue et pesante
sa solitude éternelle ! Les gens ne font que passer et tombent
dans l’oubli, seule reste la mémoire.
Certaine femmes
Rien, pas de fantôme, pas d’extraterrestre non plus, pas
de tueurs en série pas de vagins ambulants ou de politique, simplement
un recueil d’expériences humaines véritables. Sensibilité,
angoisse, désœuvrement. L’effet miroir loupe du film
en devient dérangeant. Le film tente simplement de captiver quelques
vérités et quelques silences.
The Florida project
Non mais je sais bien que ce film aborde un sujet très sensible,
la précarité face à la surconsommation et blabla
et blabla mais Moonee, Moonee, Moonee ahhh sexy moonee jurant et crachant
comme un charretier, tellement attachante.
Et cette mère pleine d’amour (oui, je cherche bien à
excuser son comportement un peu limite et alors ! j’attire ton
attention d’ailleurs que j'ai aimé la fin mais pas les
quelques minutes avant la fin) qui se bat (ok un peu) contre le quotidien
difficile et presque fataliste (on peut le lui accorder hein)…
mais Moonee oh moonee par enchantement rend cette cruauté plus
walt disneyenne (et j’invente des mots aussi !)
Grave
J’étais hilare! mais hilare mon cher… Je trouve intéressant
le parallélisme proposé.
Mutation vers l’âge adulte. La végétarienne
(la pucelle) qui cède enfin à l’appel de la chair.
La sexualité enfin libérée!
Le sexe, cette envie de manger l’autre tout cru
Thelma
Parce qu’elle est jolie. C’est pas suffisant comme argument
?
Là encore le surnaturel n’est qu’un prétexte,
les pouvoirs paranormaux de Thelma expriment une répression subie
par un entourage familial ancré dans l’obscurantisme religieux.
Mutation vers l’âge adulte, découverte de la sexualité.
Safaa
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Gabriel et la montagne
Rodin
Le sens de la fête.
C'est affreux, j'ai vu vraiment très peu de films en 2017 ! Il
faut que ça change !
Heureusement que tu nous cultives.
Viviane F
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un top 3
faute d'amour
visages villages
patients
et ensuite
la mise à mort du cerf sacré
une vie violente
félicité
silence
la promesse de l'aube
grave
marvin ou la belle éducation
lothaire
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Opéra : documentaire sur un
univers professionnel particulier. J’ai trouvé que la réalisation
donnait la parole à tous, sans parti pris : on apprend des choses
sans être manipulé (du moins sans se sentir manipulé).
Les enjeux création/budget/tutelle/public sont bien exposés,
rien n’est simplifié. Beaucoup de bienveillance dans la
parole et dans le regard porté sur chacun des acteurs de cet
univers.
Petit Paysan : en fait, je peux remettre la même chose que pour
Opéra (même si, ici c’est une fiction)
Visages villages : je vais me répéter !
Bref, j’aime les films ancrés dans la réalité
qui donnent la parole à ceux qu’on n’entend pas souvent….et
j’adore être plongée dans le monde du travail.
Irène D
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Nocturnal animals : troublant, dérangeant,
on apprécie les choses que quand elles nous échappent
?
Dunkerque : certes des incohérences, mais c’est beau les
héros humains à fleur de peau
Blade runner 2049 : pour cet univers impressionnant qu’il arrive
à créer, belle suite même si elle n’a pas
la force émotionnelle de Ridley Scott
Au revoir là-haut : Pas vu, mais lu et je fais confiance à
Dupontel pour en tirer le meilleur
Michel F
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L'année des femmes !
Visages villages, Grave, Ava, Soleil battant, Jeune femme, tous réalisés
par des femmes. Ils font partie de mes préférés,
et je voudrais m'arrêter là.
20th century women, même réalisé par un homme,
est un beau film de femmes. Une femme fantastique aussi. Et les figures
de l'ombre. Et j'ai adoré Wonder Woman…
Laetitia J
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Voici donc les films que j’ai
préféré en 2017 :
• Au revoir la haut
• 120 battements par minutes
• Le sens de la fête
• Lion
• Patients
• Chez nous
• Une femme fantastique
Vincent B
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Vu une petite vingtaine de films
de 2017, la plupart dans le confort de notre canapé, on fait
ce qu’on peut… Alors c’est ennuyeux, parce qu’aucun
de ceux que l’on a vus, mais alors aucun, n’arrive à
la cheville de Three Billboards Outside Ebbing, Missouri. Mais celui-ci
devra attendre le Top 2018 !
En premier je vais citer deux merveilles, Patients et Les Mistrals Gagnants.
C’est peut-être parce que je suis plus sensibilisée
aux malades et aux hôpitaux depuis que je les côtoie de
plus près, mais c’est surtout parce que les deux films
ont vraiment pu attraper au vol des moments incroyables et nous les
donner à voir dans toute leur vérité. C’est
ça. Le regard de Pablo Pauly se tournant vers nous à la
fin de Patients. Oui.
Je ne résiste pas au plaisir de citer Valérian et la Cité
des mille planètes, je me suis vraiment bien amusée, alors
que je craignais le pire. Contrat rempli à tout point de vue,
voilà une friandise délicieuse.
Difficile de ne pas citer deux films qui pourtant m’ont vraiment
mise mal à l’aise (mais heureusement j’avais vu Valérian
avant :D). Je pense à 120 Battements par minute, et Petit Paysan.
Deux films que j’ai ressentis très durement, et en particulier
le premier (écho perso. Parce que sinon, moi et la campagne,
comment dire, enfin on ne se connaît pas bien, voilà).
Deux films importants.
Et pour finir, encore deux films, cette fois traitant le même
sujet de façon bien différente, le feel-good movie hollywoodien,
Les Figures de l'ombre (Hidden Figures), où l’on en apprend
encore de belles sur la situation des femmes américaines noires
des années 60, et le documentaire I am not your Negro, passionnant.
Pas d’un optimisme bouleversant, certes. Heureusement, il y a
Valérian !!!
Et, euh, The Greatest Showman, on en parle ? Ah non, sortie française
2018. Et puis Alain ne va pas aimer. Mais au fait, il n’a peut-être
pas aimé Valérian ? Voyons… Ah, son article commence
par « Mille déceptions ». :/ Ooops, je m’éclipse
sur la pointe des pieds, see you next year…
Anne K.
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Voici ma sélection pour le
top 10. Etant très éclectique cette année, du film
pseudo-documentaire au film d’animation en pensant par une comédie
musicale, je suis bien contente de ne pas avoir à faire de classement
;-)
Dans un ordre aléatoire donc 10 films qui m’ont fait rêver,
rire, qui m’ont questionné et fait enrager… des combats
humains percutants, des défis loin des conventions sociales,
des rêves artistiques et une touchante complicité intergénérationnelle
….
• - 20th Century Women
• - 120 battements par minutes
• - Moonlight
• - un homme intègre
• - I am not your negro
• - Orpheline
• - Compte tes blessures
• - La la land
• - Visages villages ( un régal celui ci !)
• - Grand Méchant Renard
Caroline C
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